De la théorie à la réalisation pratique au cours de la formation initiale.
Séance du mercredi 14 juin 2023 (Quelle formation pratique pour quels opérateurs ?” « La sélection des opérateurs et le suivi de leur apprentissage »)
N° de DOI : 10.26299/w731-we29/emem.2023.22.01
Résumé
Cette séance consacrée à la formation pratique des opérateurs, ne peut éluder la question de ce qui est attendu d’un « opérateur ». La réponse des enseignants et de leurs tutelles est assez consensuelle et dépasse le simple cadre de la formation technique.
Cet intérêt pour la formation initiale des opérateurs s’inscrit dans un contexte singulier, motivé par une conjonction d’évènements (réformes, contraintes, innovations, évolutions sociétales, …) qui sont d’avantage externes plutôt qu’internes à la discipline chirurgicale.
Le cursus universitaire de la formation des « opérateurs », est validée au travers d’un « Diplôme d’Etudes » et cette dénomination, plutôt que « Certificat de Compétences », est en soi ambigüe en ce qu’elle souligne d’avantage l’aspect théorique de la formation plutôt que la préparation à l’exercice d’un métier. Par ailleurs : (i) les études médicales actuelles formatent les étudiant(e)s à la pratique de spécialités médicales, mais ne les préparent pas à l’exercice de spécialités chirurgicales et (ii) les études chirurgicales ne tracent toujours pas les compétences qui devraient être acquises, techniques et autres.
Cette présentation évoquera aussi les pistes d’améliorations qui pourraient être mises en place.
Olivier Farges
Cet intérêt pour la formation initiale des opérateurs s’inscrit dans un contexte singulier, motivé par une conjonction d’évènements (réformes, contraintes, innovations, évolutions sociétales, …) qui sont d’avantage externes plutôt qu’internes à la discipline chirurgicale.
Le cursus universitaire de la formation des « opérateurs », est validée au travers d’un « Diplôme d’Etudes » et cette dénomination, plutôt que « Certificat de Compétences », est en soi ambigüe en ce qu’elle souligne d’avantage l’aspect théorique de la formation plutôt que la préparation à l’exercice d’un métier. Par ailleurs : (i) les études médicales actuelles formatent les étudiant(e)s à la pratique de spécialités médicales, mais ne les préparent pas à l’exercice de spécialités chirurgicales et (ii) les études chirurgicales ne tracent toujours pas les compétences qui devraient être acquises, techniques et autres.
Cette présentation évoquera aussi les pistes d’améliorations qui pourraient être mises en place.
Olivier Farges