Enseignement et renforcement (échographie) de l’anesthésie loco régional en Afrique de l’Ouest
Séance du mercredi 02 avril 2025 (Chirurgie Humanitaire et solidaire)
N° de DOI : 10.26299/fmvy-h517/2025.13.02
Résumé
Ce document détaille un programme de formation en anesthésie locorégionale (ALR) mené en Afrique de l’Ouest. Le programme vise à améliorer la qualité, l’accès et la sécurité de l’anesthésie lors d’opérations chirurgicales courantes. Il cible une région où l’accès aux soins d’anesthésie est très limité, avec un faible ratio médecins/habitants et un taux de mortalité élevé lié à des interventions chirurgicales.
La formation se base sur l'apprentissage de techniques d’ALR sous échographie, moins coûteuses et plus sûres que l’anesthésie générale, pour réduire les coûts, la durée des séjours hospitaliers, et la consommation de médicaments comme la morphine. Elle met l’accent sur la formation de formateurs (un modèle de formation en cascade), l’équipement des hôpitaux en échographes, l’utilisation de nouvelles technologies (application smartphone pour le suivi), et la publication de résultats scientifiques.
Le programme est mené en collaboration avec des ONG, des sociétés d’anesthésie locales et des médecins facilitateurs de divers pays africains. Il a déjà formé environ 200 praticiens dans une dizaine de pays et a abouti à des publications scientifiques. Le document met en avant l’importance d’adapter les formations aux réalités locales et de former aussi du personnel non-médecin, comme les infirmiers anesthésistes. Enfin, l'évaluation se base sur des données récoltées via une application mobile permettant de suivre les progrès des participants.
La formation se base sur l'apprentissage de techniques d’ALR sous échographie, moins coûteuses et plus sûres que l’anesthésie générale, pour réduire les coûts, la durée des séjours hospitaliers, et la consommation de médicaments comme la morphine. Elle met l’accent sur la formation de formateurs (un modèle de formation en cascade), l’équipement des hôpitaux en échographes, l’utilisation de nouvelles technologies (application smartphone pour le suivi), et la publication de résultats scientifiques.
Le programme est mené en collaboration avec des ONG, des sociétés d’anesthésie locales et des médecins facilitateurs de divers pays africains. Il a déjà formé environ 200 praticiens dans une dizaine de pays et a abouti à des publications scientifiques. Le document met en avant l’importance d’adapter les formations aux réalités locales et de former aussi du personnel non-médecin, comme les infirmiers anesthésistes. Enfin, l'évaluation se base sur des données récoltées via une application mobile permettant de suivre les progrès des participants.