La Chirurgie robotique dans la pratique quotidienne : Retour d’expérience, cas cliniques, perspectives
Séance du mercredi 26 novembre 2025 (Robotique en orthopédie: de la conception à la pratique en partenariat avec Johnson and Johnson)
N° de DOI : 10.26299/nfzv-zz05/emem.2025.48.04
Résumé
La chirurgie prothétique du genou a fortement évolué ces dernières années, passant d’une approche systématique et empirique à une personnalisation accrue grâce aux avancées technologiques.
Malgré les résultats satisfaisants mais perfectibles des prothèses classiques, les chirurgiens sont face à de nouveaux défis : patients plus jeunes, attentes fonctionnelles élevées et nécessité d’une adaptation individuelle.
L’arrivée de la robotique, illustrée par le système Velys®, marque un tournant. Elle permet une précision accrue des coupes osseuses, un meilleur équilibrage ligamentaire et une reproductibilité des gestes, tout en réduisant la variabilité liée à l’expérience du chirurgien.
La courbe d’apprentissage est relativement courte (2 à 11 cas selon l’expérience), avec une légère augmentation du temps opératoire, surtout pour les chirurgiens à faible volume, mais compensée par la qualité du positionnement des implants.
La robotique s’avère particulièrement intéressante dans les cas complexes (genou raide, séquelles d’ostéotomie, reprises de prothèse).
Enfin, de nouvelles perspectives émergent : intégration de l’IA, jumeaux numériques et évolution du métier de chirurgien.
Dr Antoine Mouton
Malgré les résultats satisfaisants mais perfectibles des prothèses classiques, les chirurgiens sont face à de nouveaux défis : patients plus jeunes, attentes fonctionnelles élevées et nécessité d’une adaptation individuelle.
L’arrivée de la robotique, illustrée par le système Velys®, marque un tournant. Elle permet une précision accrue des coupes osseuses, un meilleur équilibrage ligamentaire et une reproductibilité des gestes, tout en réduisant la variabilité liée à l’expérience du chirurgien.
La courbe d’apprentissage est relativement courte (2 à 11 cas selon l’expérience), avec une légère augmentation du temps opératoire, surtout pour les chirurgiens à faible volume, mais compensée par la qualité du positionnement des implants.
La robotique s’avère particulièrement intéressante dans les cas complexes (genou raide, séquelles d’ostéotomie, reprises de prothèse).
Enfin, de nouvelles perspectives émergent : intégration de l’IA, jumeaux numériques et évolution du métier de chirurgien.
Dr Antoine Mouton

