La chirurgie en cabinet : situation actuelle et bénéfices
Séance du mercredi 23 octobre 2024 (La chirurgie au cabinet)
N° de DOI : 10.26299/1g0a-yz73/emem.2024.27.02
Résumé
La chirurgie externe ou office surgery ou chirurgie en cabinet correspond à des actes chirurgicaux simples, réglés, réalisés en cabinet sous anesthésie locale en France et ne nécessitant pas de surveillance post-opératoire hospitalière.
C’est une pratique courante dans de nombreux pays : 10 à 20% de la pratique chirurgicale.
Toutes les disciplines chirurgicales sont concernées en dehors de la chirurgie cardiaque et la chirurgie thoracique.
Le pourcentage d’actes réalisables en externe dépend des disciplines : 5 et 40%
Actuellement en IDF, le déploiement de cette pratique intéresse surtout les domaines comme l’ophtalmologie, l’ORL, l’urologie, la plastie et la gynécologie.
Les bénéfices sont multiples :
- Pour les patients : plus simple, plus rapide et moins stressant
- Pour le chirurgien : continuité de la prise en charge avec diminution du risque d’erreur, flux plus rapide et moins d’infection nosocomiale
- Pour l’établissement : libération de personnel inutile pour ces interventions simples et libération de vacations opératoires au profit d’interventions plus complexes
- Pour la société : Il existe une adéquation entre les moyens mis à disposition et la complexité de l’acte chirurgical ; en cas de mise en œuvre au niveau national, les économies seraient énormes.
C’est une pratique courante dans de nombreux pays : 10 à 20% de la pratique chirurgicale.
Toutes les disciplines chirurgicales sont concernées en dehors de la chirurgie cardiaque et la chirurgie thoracique.
Le pourcentage d’actes réalisables en externe dépend des disciplines : 5 et 40%
Actuellement en IDF, le déploiement de cette pratique intéresse surtout les domaines comme l’ophtalmologie, l’ORL, l’urologie, la plastie et la gynécologie.
Les bénéfices sont multiples :
- Pour les patients : plus simple, plus rapide et moins stressant
- Pour le chirurgien : continuité de la prise en charge avec diminution du risque d’erreur, flux plus rapide et moins d’infection nosocomiale
- Pour l’établissement : libération de personnel inutile pour ces interventions simples et libération de vacations opératoires au profit d’interventions plus complexes
- Pour la société : Il existe une adéquation entre les moyens mis à disposition et la complexité de l’acte chirurgical ; en cas de mise en œuvre au niveau national, les économies seraient énormes.