Éthique de l’acte chirurgical
Séance du mercredi 30 septembre 2020 (Ethique et Chirurgie)
N° de DOI : 10.26299/vert-w127/emem.2018.3.019
Résumé
La partie purement technique de l’acte chirurgical ne résume pas, à elle seule, l’esprit de la spécialité.
L’éthique chirurgicale s’exprime au mieux au cours des phases pré et post opératoires.
La phase pré opératoire est le moment de l’indication à poser et celle de l’information à prodiguer au patient ; la phase post opératoire est celle du suivi à assurer.
Le patient, lors d’un contentieux médical, se plaint plus souvent de l’insuffisance, ressentie, de l’information et du suivi que de la réalisation technique de l’acte elle-même.
La prodigieuse explosion de la technique, robotique et virtuelle augmentée, au XXIème siècle, ne doit donc pas faire oublier, au jeune chirurgien, la nécessité de garder un contact empathique avec son patient, au cours des deux phases qui encadrent l’acte technique.
De cette attention à un côté qu’on pourrait aussi dire « médical » de son action, dépend directement la possibilité de minorer la pression judiciaire qui s’exerce sur lui, au XXIème siècle.
L’éthique chirurgicale s’exprime au mieux au cours des phases pré et post opératoires.
La phase pré opératoire est le moment de l’indication à poser et celle de l’information à prodiguer au patient ; la phase post opératoire est celle du suivi à assurer.
Le patient, lors d’un contentieux médical, se plaint plus souvent de l’insuffisance, ressentie, de l’information et du suivi que de la réalisation technique de l’acte elle-même.
La prodigieuse explosion de la technique, robotique et virtuelle augmentée, au XXIème siècle, ne doit donc pas faire oublier, au jeune chirurgien, la nécessité de garder un contact empathique avec son patient, au cours des deux phases qui encadrent l’acte technique.
De cette attention à un côté qu’on pourrait aussi dire « médical » de son action, dépend directement la possibilité de minorer la pression judiciaire qui s’exerce sur lui, au XXIème siècle.